La famille Kempner-Rozen
L’histoire tragique de la famille Kempner-Rozen. Seulement le père Moszek survit à la guerre.
L’histoire tragique de la famille Kempner-Rozen. Seulement le père Moszek survit à la guerre.
Sophie Dimenstein, 16 ans, née à Anvers, se présente sur convocation au Sammellager Mecheln.
Nisen Karolinski et Tauba Hena Makofka, immigrent en 1929. Leurs sept enfants, tous nés à Varsovie, les accompagnent.
Walter Roseboom, Juif allemand, marchand de bétail et agriculteur, arrive de Leers à Bruxelles en 1939, peu avant le début de la guerre.
Juive polonaise, Fela Bram immigre en Belgique en 1926 et s’installe à Anvers. Szyja Turner, quant à lui, arrive en 1932 de Paris à Anvers, où il exerce la profession de maroquinier.
Juifs polonais, Rachel Mandel recta Kwadrat et Israel Isaak Lipschitz appartiennent à la seconde génération de l’immigration. Ils naissent tous les deux à Anvers.
En 1945, Jozef Van Damme, médecin à Blankenberge, reçoit d’une de ses patientes un mouchoir sur lequel sont brodés son bras et son matricule d’Auschwitz. Le fils de Jozef, Piet Van Damme, confie l’objet à Kazerne Dossin en 2019. D’après des recherches, il s’avère que le mouchoir a appartenu à Sarah Goldberg, une des plus grandes figures de la résistance en Belgique. Sarah travaillait pendant la guerre pour le réseau de renseignements Die Rote Kapelle. Elle a survécu à sa déportation depuis la caserne Dossin en 1943 et est restée un témoin actif jusqu’à sa mort en 2003.
Sonia Anoutchin, alias Aimée Cuypers, quitte la Belgique pour le Canada après la guerre. Après le décès de Sonia, sa petite-fille Sara Hailstone découvre dans la cave quelques documents et une étoile jaune, portée par David Pelc à Bruxelles pendant la guerre. Sonia n’a visiblement jamais oublié son ami de jeunesse déporté et assassiné. Sara fait don d’une copie numérique des pièces à Kazerne Dossin. Une photo inconnue de David est ajoutée au mur des portraits.